
Deuxième étape: Sauvagnon
Après St Jean, la destination programmée, (enfin plus ou moins programmée, parce que ces vacances ne sont pas parties pour être très organisées, d'ailleurs depuis le début c'est n'importe quoi, mais toujours pour le meilleur, au bout du compte) donc ce qui était prévu sans l'être tout en l'étant, c'était l'Espagne, avec comme destination Tortosa, une virée à Barcelone et quelques jours avec Mary, les deux dernières propositions étant compatibles et cumulables.
Mais les chemins sont multiples pour y mener, et, en visitant les Abattoirs à Toulouse avec ma super copine et soeur de blog Elisabeth qui partage mon intérêt pathologique pour l'art contemporain et qui me doit l'ITP stupide de son blog (merci qui?), Elisabeth, donc, me disait avec des trémolos dans la voix qu'elle avait déjà visité deux des quatre fondations Guggenheim (oui, quatre, pas trois, il y en aussi une à Berlin) et qu'elle visiterait bien celle de New-York, mais elle n'a pas envie d'aller à New-York. J'ai la solution! Va à Berlin!!
Et moi je n'en avais (jusque là, parce que ça a changé à l'heure où j'écris ces lignes) visité aucune. J'ai senti très brusquement le vide insupportable que créait ce constat et décidé que de Toulouse à Barcelone, Bilbao était une étape très acceptable.
Dont acte. Et en plus, entre Toulouse et Bilbao, il y a Sauvagnon, et donc Alain et Marie-Noëlle que nous n'avions pas vus depuis plusieurs années, vu qu'ils bougent beaucoup, sont très occupés, nous pas super organisés (enfin ça dépend) et un peu hyperactifs. Alors, sur l'autoroute entre Toulouse et Tarbes, j'ai appelé, ils venaient d'arriver de petites vacances et Alain avait rallumé son portable il y a 10 minutes et ils n'avaient justement rien de prévu ce soir. Fidèles à eux-mêmes, ils m'ont dit que ça les faisait chier qu'on débarque au dernier moment sans prévenir, mais que dans une heure c'était bon.
Et voilà, une soirée comme si on s'était quitté la veille, mais c'est toujours comme ça, on a refait le monde et on s'est dit à très bientôt. Promis.

Il était d'accord pour que je mette les photos sur mon blog.
Bon ben voilà.
Pas de regrets?
(Il est beaucoup plus beau que ça en vrai, voir plus haut)
Demain, Bilbao.
Mais les chemins sont multiples pour y mener, et, en visitant les Abattoirs à Toulouse avec ma super copine et soeur de blog Elisabeth qui partage mon intérêt pathologique pour l'art contemporain et qui me doit l'ITP stupide de son blog (merci qui?), Elisabeth, donc, me disait avec des trémolos dans la voix qu'elle avait déjà visité deux des quatre fondations Guggenheim (oui, quatre, pas trois, il y en aussi une à Berlin) et qu'elle visiterait bien celle de New-York, mais elle n'a pas envie d'aller à New-York. J'ai la solution! Va à Berlin!!
Et moi je n'en avais (jusque là, parce que ça a changé à l'heure où j'écris ces lignes) visité aucune. J'ai senti très brusquement le vide insupportable que créait ce constat et décidé que de Toulouse à Barcelone, Bilbao était une étape très acceptable.
Dont acte. Et en plus, entre Toulouse et Bilbao, il y a Sauvagnon, et donc Alain et Marie-Noëlle que nous n'avions pas vus depuis plusieurs années, vu qu'ils bougent beaucoup, sont très occupés, nous pas super organisés (enfin ça dépend) et un peu hyperactifs. Alors, sur l'autoroute entre Toulouse et Tarbes, j'ai appelé, ils venaient d'arriver de petites vacances et Alain avait rallumé son portable il y a 10 minutes et ils n'avaient justement rien de prévu ce soir. Fidèles à eux-mêmes, ils m'ont dit que ça les faisait chier qu'on débarque au dernier moment sans prévenir, mais que dans une heure c'était bon.
Et voilà, une soirée comme si on s'était quitté la veille, mais c'est toujours comme ça, on a refait le monde et on s'est dit à très bientôt. Promis.

Il était d'accord pour que je mette les photos sur mon blog.
Bon ben voilà.
Pas de regrets?
(Il est beaucoup plus beau que ça en vrai, voir plus haut)
Demain, Bilbao.