Je ne sais pas vous, mais moi, cette alternance de belles journées qui me réchauffent et de températures qui baissent
brusquement semble me dire "Ne te fais pas d'illusions, on y va, vers les jours gris, froids pluvieux... nyark nyark nyark!!"
Alors pour conjurer le mauvais sort, je fais des conserves de tomates, de sauces faites avec ces mêmes tomates, des confitures de tous les fruits que je trouve...
Je récolte les courgettes qui restent et dont les fleurs feraient de bien bons beignets

Et puis il y a le basilic

qui commence à faire de grandes tiges fleuries

et beaucoup moins de feuilles odorantes à découper en fines lanières pour faire chanter les préparations saisonnières.
Jusque là, je m'imaginais que c'était aussi le début de la fin pour le basilic et qu'il allait falloir couper et jeter tout ça pour que quelques feuilles pointent encore, comme je fais avec le persil (j'ai peut-être tort d'ailleurs???).
Et puis je suis tombée sur le blog Floradiane, riche en astuces de toutes sortes pour profiter de ce que la nature nous offre et passionnant à explorer, et j'y ai appris que ces tiges que l'on nomme sommités fleuries sont riches de parfums qui se perpétuent plus longtemps que celui des feuilles.
J'en ai donc récolté quelques unes pour les faire sécher, puis les broyer en une poudre délicieusement parfumée dont je compte bien aromatiser les pâtes pour tartes à la tomates, pizzas... Je vous raconterai.
Et comme nous avons rapporté de notre périple en Andalousie des quantités déraisonnables d'huile d'olive... il faut dire que les champs d'oliviers à perte de vue offraient des tentations démoniaques

et que cet arbre éponyme de mon doudou stimule mon imagination... mais je m'égare...
donc j'ai mis quelques unes de ces sommités fleuries dans de petites bouteilles de (bonne!!!) huile d'olive


et, après les avoir laissées trois semaines dans un endroit sombre et frais, j'y adjoindrai quelques feuilles de basilic, pour encore une ou deux semaines avant de la filtrer.
Et cet hiver, bravant les frimas et les bourrasques, nous pourrons déguster je ne sais pas quoi encore, mais avec des pensées ensoleillées ;-))
Allez, à bientôt!
Alors pour conjurer le mauvais sort, je fais des conserves de tomates, de sauces faites avec ces mêmes tomates, des confitures de tous les fruits que je trouve...
Je récolte les courgettes qui restent et dont les fleurs feraient de bien bons beignets

Et puis il y a le basilic

qui commence à faire de grandes tiges fleuries

et beaucoup moins de feuilles odorantes à découper en fines lanières pour faire chanter les préparations saisonnières.
Jusque là, je m'imaginais que c'était aussi le début de la fin pour le basilic et qu'il allait falloir couper et jeter tout ça pour que quelques feuilles pointent encore, comme je fais avec le persil (j'ai peut-être tort d'ailleurs???).
Et puis je suis tombée sur le blog Floradiane, riche en astuces de toutes sortes pour profiter de ce que la nature nous offre et passionnant à explorer, et j'y ai appris que ces tiges que l'on nomme sommités fleuries sont riches de parfums qui se perpétuent plus longtemps que celui des feuilles.
J'en ai donc récolté quelques unes pour les faire sécher, puis les broyer en une poudre délicieusement parfumée dont je compte bien aromatiser les pâtes pour tartes à la tomates, pizzas... Je vous raconterai.
Et comme nous avons rapporté de notre périple en Andalousie des quantités déraisonnables d'huile d'olive... il faut dire que les champs d'oliviers à perte de vue offraient des tentations démoniaques

et que cet arbre éponyme de mon doudou stimule mon imagination... mais je m'égare...
donc j'ai mis quelques unes de ces sommités fleuries dans de petites bouteilles de (bonne!!!) huile d'olive


et, après les avoir laissées trois semaines dans un endroit sombre et frais, j'y adjoindrai quelques feuilles de basilic, pour encore une ou deux semaines avant de la filtrer.
Et cet hiver, bravant les frimas et les bourrasques, nous pourrons déguster je ne sais pas quoi encore, mais avec des pensées ensoleillées ;-))
Allez, à bientôt!