Désolée, je n'ai pas de photo, mais j'ai des excuses!
Comme je n'ai pas la télé, je suis relativement préservée de l'enfer des préparatifs effrénés des festivités obligatoires qui se profilent pour... bientôt. Mais malgré tout, avec un bon agenda, la radio sur les trajets professionnels et quelques caddies à remplir, on peut difficilement passer à côté. J'ai essayé pourtant parce que cette année j'ai un feeling moyen là-dessus alors que d'habitude j'adore, je prévois des semaines à l'avance les babioles de table, tout ça.
Mais là, rien, le blanc.
Et puis hier, discussion avec Karine avant de quitter le travail (merci Karine!!! ma réponse n'est plus si simple quand les petits enfants me demandent "c'est ta copine??") suivie d'une après-midi calme (rare, très rare), j'appelle Gaëlle, elle est relativement disponible aussi, on va traîner, on discute, son déménagement, son projet de se mettre à la guitare... et ça y est, l'envie se déclenche, les couleurs de la table, la forme des amuse-bouche, le tissu chatoyant, du blanc, du bleu et de l'argenté, on l'a encore jamais fait, ça? non. Allez!
Retour le coffre rempli. Brouillard. Je ne vois RIEN la nuit (et la journée pas grand chose), Gaëlle se dépose chez elle, je rentre à tâtons. 20 heures.
Faire à manger. Quatre grand modèles d'estomac à combler, dont deux surveillant leur ligne.
Ouverture du congélateur.
Euh, c'est n'importe quoi les courses en ce moment... 3 ou 4 poulets, 2 kg de steack haché en barquettes de 350 ou 500 grammes, 15 steacks hachés, 3 tranches d'osso-bucco... Génial.
Il y a bien des noix de St Jacques et du foie gras frais, mais ça serait gâcher, là.
Côté légumes, carottes, 2 vieux poireaux, salade, endives, patates. Point, point, point.
Quelques cuisses de poulet, ah, bien ça.
Finalement, ça ne s'est pas si mal terminé.
Poulet aux carottes à l'orientale
5 cuisses de poulet
6 à 8 belles carottes
2 poireaux, même récents
1 gros oignon (ou 2 petits)
2 gousses d'ail
1 c. à c. de cumin et demie
1 c. à c. bombée de piment doux
1 c. à c. de garam massala
1 cube de bouillon délayé dans un quart de litre d'eau
Le jus de 2 citrons
2 c. à s. d'huile d'olive
2 c. à s. de persil haché
sel, poivre
Epluchez les carottes et coupez-les en rondelles pas trop fines.
Lavez bien les poireaux et coupez les en rondelles pareil.
Emincez l'oignon.
Réservez tout ça.
Mettez à dorer les cuisses de poulet dans une sauteuse et dans l'huile d'olive chaude, de tous les côtés. Sortez-les, réservez.
Mettez à la place l'oignon, à feu moyen, puis l'ail jusqu'à ce qu'ils soient tendres.
Ajoutez les poireaux, Faites revenir quelques instants.
Saupoudrez du piment doux et du cumin, mélangez sans arrêt pendant 1 ou 2 minutes, le piment ne doit pas trop cuire.
Ajoutez les carottes, mélangez.
Mouillez avec le bouillon et le jus des deux citrons.
Salez (pas trop), poivrez
Remettez les cuisses de poulet.
Laissez cuire à couvert 20 mn.
Saupoudrez de garam massala, mélangez en soulevant les cuisses de poulet.
Saupoudrez de persil haché, laissez encore 2 mn.
Servez.
Allez une image de cet été pour se rappeler la chaleur et voir des couleurs quand même, comme celles de ce plat.

Comme je n'ai pas la télé, je suis relativement préservée de l'enfer des préparatifs effrénés des festivités obligatoires qui se profilent pour... bientôt. Mais malgré tout, avec un bon agenda, la radio sur les trajets professionnels et quelques caddies à remplir, on peut difficilement passer à côté. J'ai essayé pourtant parce que cette année j'ai un feeling moyen là-dessus alors que d'habitude j'adore, je prévois des semaines à l'avance les babioles de table, tout ça.
Mais là, rien, le blanc.
Et puis hier, discussion avec Karine avant de quitter le travail (merci Karine!!! ma réponse n'est plus si simple quand les petits enfants me demandent "c'est ta copine??") suivie d'une après-midi calme (rare, très rare), j'appelle Gaëlle, elle est relativement disponible aussi, on va traîner, on discute, son déménagement, son projet de se mettre à la guitare... et ça y est, l'envie se déclenche, les couleurs de la table, la forme des amuse-bouche, le tissu chatoyant, du blanc, du bleu et de l'argenté, on l'a encore jamais fait, ça? non. Allez!
Retour le coffre rempli. Brouillard. Je ne vois RIEN la nuit (et la journée pas grand chose), Gaëlle se dépose chez elle, je rentre à tâtons. 20 heures.
Faire à manger. Quatre grand modèles d'estomac à combler, dont deux surveillant leur ligne.
Ouverture du congélateur.
Euh, c'est n'importe quoi les courses en ce moment... 3 ou 4 poulets, 2 kg de steack haché en barquettes de 350 ou 500 grammes, 15 steacks hachés, 3 tranches d'osso-bucco... Génial.
Il y a bien des noix de St Jacques et du foie gras frais, mais ça serait gâcher, là.
Côté légumes, carottes, 2 vieux poireaux, salade, endives, patates. Point, point, point.
Quelques cuisses de poulet, ah, bien ça.
Finalement, ça ne s'est pas si mal terminé.
Poulet aux carottes à l'orientale
5 cuisses de poulet
6 à 8 belles carottes
2 poireaux, même récents
1 gros oignon (ou 2 petits)
2 gousses d'ail
1 c. à c. de cumin et demie
1 c. à c. bombée de piment doux
1 c. à c. de garam massala
1 cube de bouillon délayé dans un quart de litre d'eau
Le jus de 2 citrons
2 c. à s. d'huile d'olive
2 c. à s. de persil haché
sel, poivre
Epluchez les carottes et coupez-les en rondelles pas trop fines.
Lavez bien les poireaux et coupez les en rondelles pareil.
Emincez l'oignon.
Réservez tout ça.
Mettez à dorer les cuisses de poulet dans une sauteuse et dans l'huile d'olive chaude, de tous les côtés. Sortez-les, réservez.
Mettez à la place l'oignon, à feu moyen, puis l'ail jusqu'à ce qu'ils soient tendres.
Ajoutez les poireaux, Faites revenir quelques instants.
Saupoudrez du piment doux et du cumin, mélangez sans arrêt pendant 1 ou 2 minutes, le piment ne doit pas trop cuire.
Ajoutez les carottes, mélangez.
Mouillez avec le bouillon et le jus des deux citrons.
Salez (pas trop), poivrez
Remettez les cuisses de poulet.
Laissez cuire à couvert 20 mn.
Saupoudrez de garam massala, mélangez en soulevant les cuisses de poulet.
Saupoudrez de persil haché, laissez encore 2 mn.
Servez.
Allez une image de cet été pour se rappeler la chaleur et voir des couleurs quand même, comme celles de ce plat.

Les bords de l'Ebre